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Vidéo - Technologie Thermoselect

Vers un vrai virage vert

Malgré toute notre bonne volonté et tous les fonds qui y sont consacrés depuis le début des années 1990, le taux de recyclage des matières résiduelles municipales atteint à peine les 40 % si on tient compte de la portion que les centres de recyclage envoient eux-mêmes à l’enfouissement.

L’augmentation des déchets générés due à la croissance démographique ainsi qu’à celle de la consommation, s’accroît plus vite que tous nos efforts de réduction à la source et de recyclage réunis; la quantité nette de déchets municipaux dirigée à l’enfouissement augmente ainsi d’année en année. C’est donc plus de 50 % des déchets qui sont enfouis chaque année et ce chiffre augmente de 3 % par an.

Il est urgent d’analyser de façon réaliste la situation afin d’investir dans des technologies vertes adéquates, porteuses de solutions complètes, durables et efficaces à 100 %.

Aujourd’hui, on demande à la population un effort supplémentaire en gérant un 3e bac à déchets et à endosser des dépenses supplémentaires au Québec de 650 millions de dollars pour le compostage et la biométhanisation des matières putrescibles. L’expérience acquise avec le recyclage depuis 1992 au Québec nous démontre très bien que cet effort ne donnera pas les résultats escomptés; soit de détourner les matières organiques des sites d’enfouissement. La réalité objective nous indique tout le contraire.

Des pays plus avancés que le nôtre en matière de gestion et de traitement des matières résiduelles utilisent avec succès et depuis longtemps la technologie de la gazéification à haute température. Ils obtiennent ainsi un taux de recyclage de 100 %, sans aucune émission de méthane de l’enfouissement pas plus que de l’usine, sans rejet et sans enfouissement. L’argent investi leur procure une efficacité maximale et une garantie de résultats à 100 % tout en assurant la meilleure qualité de service qui soit à leur population. Ainsi tout l’énergie contenu dans les matières résiduelles est réutilisée en énergie de substitution aux énergies fossiles ce qui contribue doublement à la réduction des émissions de GES.

La compagnie québécoise 3R Synergie se spécialise dans la recherche, l’analyse et l’implantation des meilleures technologies vertes disponibles et viables dans le domaine du traitement des déchets de toutes catégories. Que ce soit par la gazéification à haute température Thermoselect ou la biométhanisation, ces solutions technologiques existent et correspondent aux meilleurs choix écologiques que nous pourrions faire. Seules des décisions réfléchies pourraient aider le Québec à abolir définitivement l’enfouissement et à réussir un vrai virage vert et durable.

Peut-on croire à la fin de l’enfouissement?

Certains pays, plus avancés écologiquement comme le Japon, ont adopté la solution Thermoselect, en complément de leurs programmes de récupération et de recyclage. Le manque de place pour l’enfouissement a forcé la société japonaise à régler rapidement le problème des déchets, ils ont banni les sites d’enfouissement.

Chaque année, la quantité de déchets générée par les Québécois est en hausse, et malgré nos efforts de recyclage, la situation s’aggrave. Malgré toutes les astuces pour embellir les sites, l’enfouissement restera un mode d’entreposage des déchets avec tous ses problèmes. Une façon de « glisser le problème sous le tapis » qui ne respecte pas les principes du développement durable; une façon d’acheter du temps, en espérant que quelqu’un, un jour, trouvera une solution. Or 3R Synergie détient la solution : le « Développement Économique Durables » qui réunie les besoins de l’environnement et de l’économie. 3R utilise de façon optimale les matières résiduelles réellement comme de vraies « matières premièreS durables » sans aucun enfouissement. La solution permet aussi d’assainir les anciens sites d’enfouissement qui, au Québec, dépasse les 100 Millions de tonnes « entreposées » à ce jour.

Quelques chiffres :
Les chiffres de Recyc-Québec nous montrent bien les succès des efforts de recyclage, mais également que la production des déchets ultimes, qui seront enfouis, est également très élevée. En 2008, nous produisions 13 millions de tonnes de déchets, dont plus de 6 millions tonnes de déchets ultimes, qui ne peuvent être ni réutilisées, ni compostés. En 2015 c’était 5,5 Millions de tonnes encore qui sont enfouies. Les résultats issus de la collecte sélective de 2015 au Québec indique que 52% des matières recyclables soit 350,000 tonnes, ont été expédiées à l’extérieur du pays. Deux constats : premièrement cela signifie que la moitié de ces matières recyclables contribue à accentuer les GES après qu’ils sont collectées porte à porte, ce qui est contraire au accord de la conférence de Paris ; deuxièmement aucun contrôle de leur utilisation n’est fait, ce qui mets sérieusement en doute la finalité du recyclage et davantage encore lorsque l’on s’aperçoit que la demande en matières recyclables chute lorsque le prix du pétrole est bas; les plastiques serait-ils utilisés comme carburant de remplacement dans les chaudières lorsque les prix du pétroles est élevé ? Comme on dit il n’y a pas de fumée sans feu.